12 février 2013
Finalement, on a tous une pute qui sommeille en nous…
… et ceci est valable pour le jour de congé. Le jour de congé tu l’attends, tu en rêves, limite tu nargues tout le monde genre « fiou, fiou, fiou dans 3 jours je ne bosse pas » et autre « j’ai un week end de 4 jours ».
Alors la veille du-dit jour, tu fanfaronnes, tu es aussi léger qu’une plume, bref c’est le nirvana au pays des Bisounours. Tout ça parce que tu ne te rappelles pas, qu'en faite, le jour de congé n’a rien de sympa :
- Déjà, as-tu remarqué comme en moyenne ce fameux jour tant espéré passe 2 fois plus vite qu’un jour de boulot ?
- Quel que soit le nombre de jours que tu prendras, sache que ta dernière demi-journée sera gâchée par l’idée du retour imminent au boulot. Comme dirait tata Alex, pour peu que tu sois un peu émotif du caca, tu pars pour une après-midi aux toilettes.
- Avant, tu auras planifié un programme de malade fait de lecture, bain, épisode de la petite maison dans la prairie, mais ça c'était sans compter sur l'associé du jour de congé à savoir miss culpabilité. C'est grâce à elle que tu vas plutôt te retrouver à faire la vaisselle, la lessive et autres joyeusetés de la ménagère de plus et moins de 50 ans.
Vous l'aurez compris aujourd'hui j'étais en congé, mais malgré cette souffrance à l'idée de retourner au boulot demain j'ai hâte du prochain jour où je n'aurais pas à aller bosser pendant que mes chères collègues seront au bureau.
Finalement, je suis bien une pute avec moi même :)
_M
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